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lundi 16 février 2009

encore un délire de notre société

http://www.mesopinions.com/La-justice-me-vole-mon-enfant-petition-petitions-d34402c1b15f989f3dd3265fdc3649ac.html
POURQUOI
si réellement il y a un doute d'incapacité à élever les enfants pourquoi ne pas aider ces gens les assister, et je ne parle pas des assistances "éducatives " bidon
je parle de gens compétents capable d'écouter quand les parents ont une questions et seulement si c'est eux qui demande l'aide
juste en cas de besoin
pourquoi ne pas les aider plutot que leur voler leur enfants et enrichir une assistante maternelle bien souvent tyrès peu éduquée elle-m^me et surtout très cupide
quelle valeur ce genre de personne peuvent apporter aux enfants puisqu'ils travaillent sur le malheur des parents
bien souvent font des menaces affichent une supériorité abusive etc j'en passe la liste est longue dans l'abus de pouvoir que ces rapts entraînent sur les enfants et leurs parents!!!

http://www.mesopinions.com/La-justice-me-vole-mon-enfant-petition-petitions-d34402c1b15f989f3dd3265fdc3649ac.html

lundi 9 février 2009

Un exemple de placement abusif à Orléans

Corinne Vautier est médecin, maman de deux fillettes de 6 et
9 ans. Une famille unie qui vit tranquillement jusqu’au jour
où Corinne, atteinte d’un cancer, veut protéger ses deux
bouts de chou de leur papa, alcoolique. Très confiante en la
République, elle prend contact avec le Juge des affaires familiales
et le Juge des mineurs près du tribunal d’Orléans pour leur
demander aide en cas de décès. Le Juge des mineurs de l’époque
ordonne une AEMO (Assistance Educative en Milieu Ouvert).
Cette prestation est fournie à Orléans par l’Association
Interdépartementale pour le Développement des Actions en
Faveur des Personnes Handicapées et Inadaptées IDAPHI (une
association chargée des personnes handicapées et inadaptées
serait-elle compétente pour prendre en charge des enfants en
risque ou en danger ?). En un an, au lieu de deux interventions
par semaine, cette assistance s’est réalisée en 4 fois une heure
dans les locaux de l’IDAPHI.
De façon étonnante, au terme de cette année, l’encadrement de
cette association – le directeur, le psychologue et l’éducatrice
officiellement chargés de l’assistance des deux fillettes – rédige
un rapport dans lequel il décrit Madame Vautier comme une
maman possessive et fusionnelle, complètement perturbée et
propose le placement des deux soeurs au village des enfants intitulé
« Les Terres Blanches » (association fortement subventionnée
pour le placement exclusif de fratries) nouvellement implanté
dans la région. Comme par hasard, le placement de Charlotte
et de Juliette est programmé à la même date prévue pour l’ouverture
du centre en question.
Le Juge des mineurs en exercice ordonne le placement sans
entendre les fillettes, encore moins les parents qui sont contre le
placement. Le bras de fer entre les parents et l’administration
(ASE et justice) commence.
Comme le village n’est pas encore fonctionnel, l’administration,
en secret, place les deux fillettes dans une famille d’accueil
durant tout le mois de juillet 2003 sans que la maman soit informée
du lieu. Celle-ci engage même un détective privé pour
retrouver la trace de Charlotte et de sa soeur.
Grâce à l’arrivée d’un nouveau Juge des mineurs, Madame Vautier
récupère ses deux filles 13 mois plus tard.
Cependant, l’épée de Damoclès reste suspendue sur la tête de
cette maman traquée et de ses deux filles car le procureur de la
République a fait appel de la décision du Juge.
Aujourd’hui, guérie de sa maladie, cette mère courage se bat pour
ses deux filles. Ces dernières n’ont jamais accepté de vivre loin de
leur mère.
La maman ne comprend pas pourquoi l’administration veut à tout
prix placer ses filles, pourquoi les différents magistrats n’ont
jamais voulu écouter les gamines. Une affaire exemplaire.
Laura BERNARDI

lundi 2 février 2009

ENFIN un psychiatre sensé!!!

Ce n’est pas l’intérêt des enfants. Ballottés d’une famille à
un établissement, revenant dans leur famille pour en
repartir, fuguant de leurs établissements ou de leurs
familles d’accueil, ces enfants deviennent des « sauvageons
». Selon le psychiatre Maurice Berger, certains
troubles sont irréversibles : l’esprit de ces enfants est
amputé, comme l’est le corps de ceux qui ont marché sur
une mine 32 % seulement des enfants de l’ASE atteignent
le niveau d’études du CAP. La société les a peut-être protégés
de leurs parents, elle n’a pas su les élever.
L’administration ne s’est pas vraiment mise à la disposition
des enfants pour les aider à améliorer leurs relations
avec leurs parents. Elle a plutôt cherché à imposer son
autorité aux uns et aux autres.