ce soir j'essaie d'appeler le foyer cerfontaine où se trouve mon fils
j'ai le droit d'appeler de 19h à 20h
il faut savoir que je travaille que j'ai une vie et que j'ai le droit d'avoir une vie
quand j'ai appelé aux heures autorisée soi 19h
l'éduque me pond que clovis est en consultation avec une assistante sociale
alors cynique je dis pourquoi mon fils a des problèmes d'argent
(oui cynique bien sur on est aux heures d'appel autorisée je le rappelle)
mon fils était en rendez vous avec une assistante sociale "psychologue" selon l'éducdu foyer l
e type un certain pierre m'a raccroché au nez alors que je lui demandais quand je pourrais rappeler dans combien de temps
du coup j'ai rappelé lui signalant son impolitesse il m'a gavé avec des histoires de règlempnt du foyer je ne vois pas ce que çà viens faire là qu'il obéis aux ordres pour se disculper de son impolitesse : rien à voir
parce que je lui signalait que j'attendais 19h je surveillais l'heure pour ne pas rater un moment avec mon fils soit 3 minutes autorisée 2 fois par semaine au delà on est coupé
et du coup je leur en ai envoyé plein la figure que j'en avais rien à faire de leur règlemnt qu'en tant que citoyenne française je n'ai pas à être tributaire de leur règlement stupide et qu'il devrait avoir honte d'user ainsi de leur "pouvoir sur les parents et les enfants
pour gagner de l'argent sur le dos des enfants
et que je vois pas le bien-êtere des personnes là deda,ns à part le leur celui de leur porte monnaie pour leur petite famille en en détruisant d'autre j'ai rajouté que je souhaitait que leur enfants soit placé pour qu'il vivent ce que nous subissons
et j'ai raccroché
ensuite j'ai craqué bien évidemment
et j'ai appelé le père pour qu'il bouge ses fesses
du coup)à il était 19h58
quand j'ai rappelé le foyer et là un certain yves m'a dit vous croyez pas qu'on va vous passer votre fils après ce que vous avez dit
de toute façon il est 20h
là je dit non il est 59 il m'a raccroché au nez
là je vais les bourrer de coup de fil où alors peut-être aller porter plainte
je sais pas trop
j'ai le droit d'avoir mon fils au tél 2 fois par semaine 3 min et je ne l'ai pas eu depuis samedi on est jeudi
voilà comment on traite les parents et les enfants dans ces foyers en belgique
subventionné par l'ase du nord pas de calais
et le pompon c'est kil;veulent y mettre ma dernière alors qu'on attend le résultat de l'appel
parskune famille d'accueil de merde n'en pouvait plus des fugues de ma fille il l'on poussé a bout
ont appelé les pompiers pour la mettre au urgence les urgence l'ont faite transférer direct chez les fous elle y est depuis le 27/12 et aucun foyer ne veut la prendre soi disant à cause du dossier
voudrais bien savoir ce qu('il y a dans ce dossier
ma dernière est placé pour trop de loyauté familiale et parce qu'elle est théâtrale c'est trop fort ::!!!!!!!!!!!!!!!!et là la voilà vraiment en souffrance depuis le 14/10 qui ne cesse de crier je veux rentrer chez moi
considérée comme une sdf puisque une juge a décidé quel ,ne pouvait pas rentrer chez elle de fait on la jette chez les fous parskon ne sait plus quoi en faire c'est ce qu'on fait des sdf qui font trop de bruit sur la voie publique on les enferme chez les fous pour les calmer!!!!::!!!!
résultat plus d'école plus de vie plus rien
jeudi 29 janvier 2009
vendredi 23 janvier 2009
dimanche 18 janvier 2009
vendredi 16 janvier 2009
à toutes fins utiles
bonjour, Vous avez demandé à recevoir les réponses au message de ..... intitulé « enfant placé à l'ASE » datant du 20 mai 2008 à 20:20 posté dans « Forum ». Ce message vient de recevoir la réponse suivante de ......._______________________________________________________ Bonjour, j'ai lu un peu tous les messages. Je compatis avec vous tous, mais étant dans la même situation que beaucoup d'entre vous, je me pose une petite question, car j'aime avoir un point objetcif en me plassant du coté des services sociaux. Généralement, et c'est le cas pour nous aussi, il y a une raison à ce placement. Pour pouvoir récupérer un enfant auprès de soit, faut déjà comprendre le pourquoi du comment du placement, après qu'il y ai des mauvais travailleurs sociaux, c'est partout pareil. Mais faut quand même faire un travail sur soit même, ne serait-ce que pour nos enfants. Car qu'ils reviennent auprès de nous, c'est bien, mais faut il que ce soit dans de bonnes conditions. Personellement je donnerais deux conseils, le premier, pour se sentir moins seul dans ces histoires, et se sentir écouté et soutenu, c'est de prendre un avocat, c'est primordial. Le deuxième conseil, c'est est-ce que vous êtes sur de vouloir récupérer vos enfants et ce dans de bonnes conditions ? Ne voyons pas uniquement que notre cas, c'est d'enfants dont il s'agit. Là par contre ou il y a de l'injustice, effectivement, même en montrant patte blanche, bien souvent, c'est quand les familles d'accueil tissent des liens avec les enfants qui ne sont donc plus dans le cadre profesionnel mais bien affectif, et dans ce cas, et c'est dans le cas ou nous sommes, c'est très dur, car la Famille d'accueil joue de leur place et ce devant le juge ou auprès de l'éducatrice. Qu'avons nous fait, très simple: 1)Un avocat 2)Une lettre au président (du coup enquête de la PJJ en milieur ouvert mais pour la famille d'accueil) 3)Un déménagement sur un autre secteur pour un rapprochement de nos enfants sur notre secteur. 4)Un travail stable 5)Une maison bien équipé 6)Une vie de couple stable et surtout stable tout court. 7)L'affection pure que nous pouvons avoir pour nos enfants sans faux semblants. Voila, je sais que ce n'est pas facile au quotidien pour beaucoup d'entre nous, mais nous menons tous le même combat, et ce combat nous ne le menons pas pour nous, mais simplement pour offrir à nos enfants le bonheur qu'ils méritent. Mais bien souvent et faut le reconnaitre, le bonheur peut passer par une phase en famille d'accueil pour leur bien être. Ensuite à nous de ne pas réhitérer les erreurs du passé. Voila mon message est un peu long mais sa fait beaucoup de bien de parler de nos situations que nous vivons et nous sentons moins seul. Cordialement
mardi 13 janvier 2009
UN 2009
ben oui la mort dans l'âme mais qu'est-ce que tu veux faire c'est peut-être ce qu'il attendent de nous, nous casser en cassant nos enfants c'est pas baisser les bras parce qu'au fond de nous jamis on ne laissera tomber c'est pas non plus qu'on laisse tomber mais il faut surtout écouter pour trouver les clés du problème si on réagit trop vivement on est vite taxé d'hystérie ou autre je le sais, ils essaient de me poussser à bout, et quand le télephone sonne le matin je sais que c'est pas une copine mais une mauvaise nouvelle qui tombe voilà comment commence l'an 09 avec du vieux qui nous suit et nous empêche d'avancer de nous reconstruire il est peut être plus facile de se disculper et de voir revenir nos enfants quand on a réellemnt merder que quand on a rien fait de mal et qu'on ne comprends pas ce qu'on nous reproche, quand on sait qu'à partir de rien ils nous entraine dans leur sarabande de gens à voir sur décision de juge inspirée ou fortement soufflée par les "services de destruction" alors on est confiant, on a rien fait de mal mais au fond c'est nous qui sommes malet il ne peuvent pas permettre de laisser des enfants grandir dans un univers où la contestation ou la clairvoyance intervient trop souvent notre pays a bersoin de bons moutons aveugles alors c'est dans l'enfance qu'on les prends pour les formateret puis en plus çà fait travailler tant de monde !!
dimanche 11 janvier 2009
Exemple de ce monde de dégueulasse
témoignage de ce monde pourri extrait d'un forum de discussion
_______________________________________________________
Bonjour a tous et a toutes je me présente je suis une jeune fille de 20 ans. Je viens aujourd'hui dépose mon témoignage entant k ancienne enfant place.Je ne sai pas si celui ci pourrai vous aider, tout d abord la justice "tribunal pour enfant" n a pas de logik dans ses choix et dans ses décision il faut s attendre a tous. Voila je suis l ainer d une fraterie de 2 frére et une soeur.J ai etait place une première fois a l age de 1ans en pouponnière, un placement dt je ne me souvien biensure pas. A 6 ans, ma mére confiante alla demander de l aide a l orthophoniste ki me suivai celle ci appella directement un educateur ki lui ne voulai pas entendre le témoignage de ma mère.Il jugea bn de prevenir l ase et s empresssa de contacter les service sociau, devant mes yeux se jour la j ai pu voir ma mère ligoter a un brancard et amener chez les fous, ce jour la j etai en compagnie de mon petit frère qui lui avait alors que kelke mois.Il fu amener a son tour en pouponiere et moi jeter comme rien en foyer d urgence.Ma soeur ki elle se trouvai en classe verte o moment des fai me rejoigna quelke temps après nous y somme rester 1ans et demi. De se placement j y est connu le viol par un même enfant placer se dont je n oser parlai a personne vu ke de toutes façon personne n étai a mon écoute les educ se foutant bien de petit bambin comme nous.J ai fuguer de se foyer 3fois avec deux camarade a moi " des choses incenser ke personne ne pourrai se doutai se passer ds se foyer" PERSONNE d educs aux parents bien entendu. J ai approximativement 14 ans de placement a mon actif j ai étai balloter de gauche a droite avc pour début un weekend sur deux chez les parents. Nous n avons connu aucune stabilité notre devenir et l endroit de notre prochain logement on le savait une fois par ans a chaque audience ou le verdict était rendu. J ai connu tou les type de placement foyer, famille d accueille, lieu de vie,pension, internat, etc. A 15 ans j était alcoolique a 16 je toucher a la drogue. Depuis mes 6ans je côtoyer les psy et psychiatre qui ne m aidai pas du tt eux st fou moi j etai briser. A 17ans j ai subi mon deuxieme viol alor ke je me trouvai en famille d accueille. De tt mon placement j ai connu une bonne famille d accueille et on m y a retirer a croire que kan on tombe chez quelqu'un de bien ce n est pas bn pour eux.De ses placements les rapport avec ma mère se sont tendu elle n était pas réceptif a mes problème d alcool normale seulement je me retrouvai seul dans mon désarrois et elle même ne m apporter pas le soutien que j attendait.Bien sur que je ne la mettais jamais o courant des service que l on subissais de peur de la blesser car celle ci soufrai déjà assez j ai encaisser pendant 15ans me taisant jour après jour, les educs eux ne me prêtai aucune attention car après avoir fait de moi une enfant briser, il me crachèrent tt bonnement a la gueule me répétant ss cesse que je n était pas récupérable que mon parcours me pesai et avait eu un effet néfaste (a qui la faute?).J ai toucher a se que je pouvais toucher j ai subi des tas de sévices me laissant subir comme j avais subi. Des famille d accueille nous battait nous voler ce que ma mère nous ramenai vêtement et autre distribuent sa a leur proche. Moi est ma sœur avons dormi o bas des escalier parceke l on parlai o lieu de dormir. J ai eu 20 ans en juillet et on ne ma pas renouveler le contrat jeune majeur (contrat signer a partir de 18 ans pour décider si il est nécessaire de continuer la prise en charge) je me suis fait virer, me laissant a la rue. Si je viens raconter mon histoire aujourd'hui c est pour vous faire prendre connaissance de ce k il peu arriver bien sure sa n arrive pas a tt le monde. Mon parcoure est assez compliquer, et, j ai pu durant mon parcoure rencontrer pas mal de personne jeune placer qui eux cache l intégralité de se qui se passe et je l ai est vu un a un se laissai couler se faisant du mal a eux même sans ke cela ne soit visible.Ma mère n est o courant de très peu de chose et je ne pense pas un jour lui en faire part. Mais si je peux vous donner un petit conseille c est de tjr soutenir votre enfant, moi même je suis tomber tres bas et ma mere mes parent ma famille m on tous tourner le dos. J ai vecu a la rue a la suite de mon rejet et ojourd'hui je m en sort grace a dieu. Je compte bientot sortir un livre afin de denoncer toutes ses choses monstrueuse ke j ai subi et dont j ai etait temoin.La justice pour enfant n est pas une justice juste ds tt les cas, elle detruit un enfant recoltent l argent kn leur rapportent(argent ki s elevent a de tres grosse somme) et il nous jettent je dit pa sa par rancoeur de la rancoeur je n an ai pas, il me ft pitier,mais cest la realiter .On ne placent pas un enfant pour la securiter puiske placai ns somme ss les feux des pires danger.Puiske une fois k il n y a plus les parents il n y a plus personne. On se retrouvent seul, la solution n est de jamais koi kil arrive lacher sn enfant malgrer se k il fait. Je souhaite a vous toutes de retrouver la garde de vos enfants et bocoup de courage,c est un dure combat ke je vous souhaite de gagner, ma mere elle la perdu et nous a perdu par la même occasionBonne chance a toutes.
PS: ma mere a pu recuperer mon frere en fesant ppelle a un avocat, ma soeur elle a demander au juge avec obstination a retourner chez elle et ca a marchait. Vous et votre enfant etes les seul alliés contre eux.Ma mere a reussi a les recuperer et ojour'hui elle vi tres loin d eux tres loin...
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Bonjour a tous et a toutes je me présente je suis une jeune fille de 20 ans. Je viens aujourd'hui dépose mon témoignage entant k ancienne enfant place.Je ne sai pas si celui ci pourrai vous aider, tout d abord la justice "tribunal pour enfant" n a pas de logik dans ses choix et dans ses décision il faut s attendre a tous. Voila je suis l ainer d une fraterie de 2 frére et une soeur.J ai etait place une première fois a l age de 1ans en pouponnière, un placement dt je ne me souvien biensure pas. A 6 ans, ma mére confiante alla demander de l aide a l orthophoniste ki me suivai celle ci appella directement un educateur ki lui ne voulai pas entendre le témoignage de ma mère.Il jugea bn de prevenir l ase et s empresssa de contacter les service sociau, devant mes yeux se jour la j ai pu voir ma mère ligoter a un brancard et amener chez les fous, ce jour la j etai en compagnie de mon petit frère qui lui avait alors que kelke mois.Il fu amener a son tour en pouponiere et moi jeter comme rien en foyer d urgence.Ma soeur ki elle se trouvai en classe verte o moment des fai me rejoigna quelke temps après nous y somme rester 1ans et demi. De se placement j y est connu le viol par un même enfant placer se dont je n oser parlai a personne vu ke de toutes façon personne n étai a mon écoute les educ se foutant bien de petit bambin comme nous.J ai fuguer de se foyer 3fois avec deux camarade a moi " des choses incenser ke personne ne pourrai se doutai se passer ds se foyer" PERSONNE d educs aux parents bien entendu. J ai approximativement 14 ans de placement a mon actif j ai étai balloter de gauche a droite avc pour début un weekend sur deux chez les parents. Nous n avons connu aucune stabilité notre devenir et l endroit de notre prochain logement on le savait une fois par ans a chaque audience ou le verdict était rendu. J ai connu tou les type de placement foyer, famille d accueille, lieu de vie,pension, internat, etc. A 15 ans j était alcoolique a 16 je toucher a la drogue. Depuis mes 6ans je côtoyer les psy et psychiatre qui ne m aidai pas du tt eux st fou moi j etai briser. A 17ans j ai subi mon deuxieme viol alor ke je me trouvai en famille d accueille. De tt mon placement j ai connu une bonne famille d accueille et on m y a retirer a croire que kan on tombe chez quelqu'un de bien ce n est pas bn pour eux.De ses placements les rapport avec ma mère se sont tendu elle n était pas réceptif a mes problème d alcool normale seulement je me retrouvai seul dans mon désarrois et elle même ne m apporter pas le soutien que j attendait.Bien sur que je ne la mettais jamais o courant des service que l on subissais de peur de la blesser car celle ci soufrai déjà assez j ai encaisser pendant 15ans me taisant jour après jour, les educs eux ne me prêtai aucune attention car après avoir fait de moi une enfant briser, il me crachèrent tt bonnement a la gueule me répétant ss cesse que je n était pas récupérable que mon parcours me pesai et avait eu un effet néfaste (a qui la faute?).J ai toucher a se que je pouvais toucher j ai subi des tas de sévices me laissant subir comme j avais subi. Des famille d accueille nous battait nous voler ce que ma mère nous ramenai vêtement et autre distribuent sa a leur proche. Moi est ma sœur avons dormi o bas des escalier parceke l on parlai o lieu de dormir. J ai eu 20 ans en juillet et on ne ma pas renouveler le contrat jeune majeur (contrat signer a partir de 18 ans pour décider si il est nécessaire de continuer la prise en charge) je me suis fait virer, me laissant a la rue. Si je viens raconter mon histoire aujourd'hui c est pour vous faire prendre connaissance de ce k il peu arriver bien sure sa n arrive pas a tt le monde. Mon parcoure est assez compliquer, et, j ai pu durant mon parcoure rencontrer pas mal de personne jeune placer qui eux cache l intégralité de se qui se passe et je l ai est vu un a un se laissai couler se faisant du mal a eux même sans ke cela ne soit visible.Ma mère n est o courant de très peu de chose et je ne pense pas un jour lui en faire part. Mais si je peux vous donner un petit conseille c est de tjr soutenir votre enfant, moi même je suis tomber tres bas et ma mere mes parent ma famille m on tous tourner le dos. J ai vecu a la rue a la suite de mon rejet et ojourd'hui je m en sort grace a dieu. Je compte bientot sortir un livre afin de denoncer toutes ses choses monstrueuse ke j ai subi et dont j ai etait temoin.La justice pour enfant n est pas une justice juste ds tt les cas, elle detruit un enfant recoltent l argent kn leur rapportent(argent ki s elevent a de tres grosse somme) et il nous jettent je dit pa sa par rancoeur de la rancoeur je n an ai pas, il me ft pitier,mais cest la realiter .On ne placent pas un enfant pour la securiter puiske placai ns somme ss les feux des pires danger.Puiske une fois k il n y a plus les parents il n y a plus personne. On se retrouvent seul, la solution n est de jamais koi kil arrive lacher sn enfant malgrer se k il fait. Je souhaite a vous toutes de retrouver la garde de vos enfants et bocoup de courage,c est un dure combat ke je vous souhaite de gagner, ma mere elle la perdu et nous a perdu par la même occasionBonne chance a toutes.
PS: ma mere a pu recuperer mon frere en fesant ppelle a un avocat, ma soeur elle a demander au juge avec obstination a retourner chez elle et ca a marchait. Vous et votre enfant etes les seul alliés contre eux.Ma mere a reussi a les recuperer et ojour'hui elle vi tres loin d eux tres loin...
lundi 5 janvier 2009
Pourquoi ce site?
Conseils aux victimes de la psychiatrie.
Souvent des femmes ou des hommes, parfois des jeunes gens m’écrivent pour me dire qu’ils ou elles ont été abusés, meurtris dans leur chair par la psychiatrie. Parfois quelqu’un se plaint avec force que son conjoint est mort à cause d’électrochocs que des psychiatres ont donnés contre l’avis du couple et que le résultat a été la mort de la personne « soignée ».
Une seule question revient sans cesse dans les écrits que je reçois :
« Que puis-je faire s’il vous plait pour me faire entendre et pour que cela cesse.»
Vous pouvez d’abord envoyer votre émail relatant vos déboires à tous les députés de France dont voici le lien http://www.assemblee-nationale.fr/13/tribun/comm3.asp En effet ils feront remonter l’information au niveau du ministre de la santé et devant le nombre de courriers qu’elle recevra elle finira bien par être obligée de s’apercevoir que quelque chose ne marche pas vis à vis de la psychiatrie.
Vous pouvez aussi contacter un avocat pour qu’il prenne votre défense, car vous avez des droits. Pour cela je peux vous aider car les avocats connaissant les problèmes relatifs à la psychiatrie ne sont pas légion.
La première chose à faire est donc d’envoyer un émail de témoignage aux députés pour que vous soyez entendus et que vous leur demandiez des explications. Ils sont élus par le peuple et pour le peuple ne l’oubliez pas.
Merci de votre courage
Jean-Sylvestre Thépénier
Souvent des femmes ou des hommes, parfois des jeunes gens m’écrivent pour me dire qu’ils ou elles ont été abusés, meurtris dans leur chair par la psychiatrie. Parfois quelqu’un se plaint avec force que son conjoint est mort à cause d’électrochocs que des psychiatres ont donnés contre l’avis du couple et que le résultat a été la mort de la personne « soignée ».
Une seule question revient sans cesse dans les écrits que je reçois :
« Que puis-je faire s’il vous plait pour me faire entendre et pour que cela cesse.»
Vous pouvez d’abord envoyer votre émail relatant vos déboires à tous les députés de France dont voici le lien http://www.assemblee-nationale.fr/13/tribun/comm3.asp En effet ils feront remonter l’information au niveau du ministre de la santé et devant le nombre de courriers qu’elle recevra elle finira bien par être obligée de s’apercevoir que quelque chose ne marche pas vis à vis de la psychiatrie.
Vous pouvez aussi contacter un avocat pour qu’il prenne votre défense, car vous avez des droits. Pour cela je peux vous aider car les avocats connaissant les problèmes relatifs à la psychiatrie ne sont pas légion.
La première chose à faire est donc d’envoyer un émail de témoignage aux députés pour que vous soyez entendus et que vous leur demandiez des explications. Ils sont élus par le peuple et pour le peuple ne l’oubliez pas.
Merci de votre courage
Jean-Sylvestre Thépénier
dimanche 4 janvier 2009
Faits divers
Un nouveau décès d’enfant dû à une erreur médicale
Louis-Joseph, 6 mois, est mort vendredi à l’hôpital Necker à Paris après une erreur de réglage de perfusion dans un établissement hospitalier des Yvelines. Ce drame intervient sur fond de polémique après plusieurs incidents mortels dans des hôpitaux.Marc Payet | 04.01.2009, 07h00
C’est une série noire pour l’hôpital. En à peine plus d’une semaine, trois décès ont eu lieu, liés à des dysfonctionnements importants. Hier, le ministère de la Santé a révélé qu’un nourrisson de 6 mois était décédé à l’hôpital Necker (Paris XV e ) vendredi, après une erreur commise par une infirmière et une auxiliaire puéricultrice dans le dosage d’une pompe à perfusion à l’hôpital de pédiatrie et de rééducation de Bullion (Yvelines).
Ce drame fait suite au décès d’Ilyes, 3 ans, le 24 décembre, à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul à Paris, après l’administration par une infirmière d’un médicament, le chlorure de magnésium, qui n’aurait jamais dû se trouver à cet endroit-là. Et le 28 décembre, un patient de 57 ans est décédé après la recherche, pendant plus de six heures, d’une place dans un service de réanimation. Certes, les trois cas sont différents, mais ils symbolisent, chacun à leur façon, l’extrême tension qui règne dans les hôpitaux.
Inévitablement, se pose la question des moyens financiers et de leur répartition. Le président de la République a indiqué, lors de ses voeux, qu’à l’hôpital « ce n’était pas un problème de moyens mais un problème d’organisation des soins ». Roselyne Bachelot, qui soutiendra bientôt devant le Parlement son projet de loi Patients, santé et territoires met en avant les « moyens considérables donnés à l’hôpital public, qui doit rester un joyau ».
« Malgré tout leur dévouement, les personnels sont souvent au bord de la rupture »
Mais la ministre estime que les drames de ces dernières semaines ne sont pas liés à un manque de moyens. Elle a décidé cependant de remettre à plat les procédures concernant les accidents liés aux médicaments, afin de tirer toutes les conclusions de ces dysfonctionnements. Cela ne suffit pas à faire taire les protestations. Patrick Pelloux, de l’Association des médecins urgentistes de France, nous a déclaré hier : « L’hôpital est en plein chaos, la preuve ! Malgré tout leur dévouement, les personnels sont souvent au bord de la rupture. En particulier dans les petites structures isolées. » Avec la vague de froid qui s’annonce, l’hôpital n’a jamais été autant exposé qu’en ce moment.
Le Parisien
Louis-Joseph, 6 mois, est mort vendredi à l’hôpital Necker à Paris après une erreur de réglage de perfusion dans un établissement hospitalier des Yvelines. Ce drame intervient sur fond de polémique après plusieurs incidents mortels dans des hôpitaux.Marc Payet | 04.01.2009, 07h00
C’est une série noire pour l’hôpital. En à peine plus d’une semaine, trois décès ont eu lieu, liés à des dysfonctionnements importants. Hier, le ministère de la Santé a révélé qu’un nourrisson de 6 mois était décédé à l’hôpital Necker (Paris XV e ) vendredi, après une erreur commise par une infirmière et une auxiliaire puéricultrice dans le dosage d’une pompe à perfusion à l’hôpital de pédiatrie et de rééducation de Bullion (Yvelines).
Ce drame fait suite au décès d’Ilyes, 3 ans, le 24 décembre, à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul à Paris, après l’administration par une infirmière d’un médicament, le chlorure de magnésium, qui n’aurait jamais dû se trouver à cet endroit-là. Et le 28 décembre, un patient de 57 ans est décédé après la recherche, pendant plus de six heures, d’une place dans un service de réanimation. Certes, les trois cas sont différents, mais ils symbolisent, chacun à leur façon, l’extrême tension qui règne dans les hôpitaux.
Inévitablement, se pose la question des moyens financiers et de leur répartition. Le président de la République a indiqué, lors de ses voeux, qu’à l’hôpital « ce n’était pas un problème de moyens mais un problème d’organisation des soins ». Roselyne Bachelot, qui soutiendra bientôt devant le Parlement son projet de loi Patients, santé et territoires met en avant les « moyens considérables donnés à l’hôpital public, qui doit rester un joyau ».
« Malgré tout leur dévouement, les personnels sont souvent au bord de la rupture »
Mais la ministre estime que les drames de ces dernières semaines ne sont pas liés à un manque de moyens. Elle a décidé cependant de remettre à plat les procédures concernant les accidents liés aux médicaments, afin de tirer toutes les conclusions de ces dysfonctionnements. Cela ne suffit pas à faire taire les protestations. Patrick Pelloux, de l’Association des médecins urgentistes de France, nous a déclaré hier : « L’hôpital est en plein chaos, la preuve ! Malgré tout leur dévouement, les personnels sont souvent au bord de la rupture. En particulier dans les petites structures isolées. » Avec la vague de froid qui s’annonce, l’hôpital n’a jamais été autant exposé qu’en ce moment.
Le Parisien
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